SODERBERG, Anna. [UC]

Before Everything__*

& . Nom : SODERBERG
& . Prénom : Anna, Amanda.
& . Surnoms : Vous ne trouvez pas qu’Anna est assez court, peut-être ? xD
& . Age & Date de naissance : 19 y.o. – 27 décembre 1989
& . Origine : Suède
& . Groupe : Snob ? Parfois ! Bitch ? Jamais !
& . Poste : Student, dear.
& . Etat Civile :
[ ] Célibataire [x] En Couple [ ] Marié [ ] Divorcé [ ] Veuve

Little description__*

& . Qualités :

- Facile à vivre
- Ambitieuse
- Douce
- Attentionnée


& . Défauts :

- Indépendante
- Sensible; un rien peut m’affecter
- Un peu renfermée au départ parce que j’ai peur de me blesser, encore.
- Impulsive

& . Caractère général :
D’aussi loin que je me souvienne, mon père m’a toujours décrite comme une personne de très sensible. Et que c’était ça mon point faible, que s’il arrivait quelque chose aux gens que j’aime, que je pourrais en perdre la tête. Ma sensibilité était quelque chose qu’on pourrait tourner contre moi. Je n’ai jamais aimé étaler mes sentiments au grand jour, lorsque nous étions en famille, il était rare que je démontrais mon affection. Les « Je t’aime » se faisaient rare… Seulement, lorsque nous regardions un film à la télévision, j’étais blottie dans les bras de ma mère et là, les échanges se faisaient. Nous n’étions pas en public, ce qui rendait la chose plus simple. Depuis que je suis toute jeune, je partage les même qualités… Je suis une jeune fille facile à vivre, sûrement est-ce dût à mon indépendance. Peut-être bien. J’ai toujours attendu le temps. Quelle phrase étrange, je n’ai jamais eut de problème à attendre. Lorsque ma grand-mère devait aller à l’hôpital, j’y allais avec elle et j’attendais avec elle après le temps. Seul le fait d’une présence me réconfortait.

Depuis que je suis toute jeune, on me parle de loyauté, c’est une valeur importante dans ma famille. L’infidélité me tue. Lorsque j’ai eut mon premier petit ami, à l’âge de 14 ans, il avait 17 ans. Il m’a trompé avec une fille de 16 ans, je n’ai jamais eut la force de lui pardonner. C’est impardonnable. Ce qu’il m’avait fait, je ne l’ai pas digérer. On m’a dit que j’avais une force hors du commun pour faire croire quelque chose. Mentir. Un talent que je possédais. Tout comme le sport, après le décès de maman, lors de mes 13 ans, en 2002. J’habitais avec mon père, tout était tellement différent mais en même temps; rien n’avait changé. Toutes les pièces de la maison était silencieuses, bien rangées et étrangement, un peu trop froide. Je me souviens des sentiments que j’éprouvais. Je ne suis pas allée en cours pendant une semaine, et c’est là que j’ai réalisé à quel point mon père avait raison… Que j’étais sensible, trop sensible. Je n’ai pas parlé pendant 15 jours, je pointais les objets et je hochais la tête. J’évitais tout le monde. Du moment que quelqu’un me voyait, je m’échappais, une lâcheté infernale. Et je partais, je partais loin. J’allais faire un tour de bicyclette dans le village voisin et je la mettais chez ma grand-mère. J’allais courir et je faisais les deux villages à la course, en pleurant silencieusement. Malgré tout, j’ai réussi à voir le haut, j’ai réalisé qui j’étais. Je suis une fille ambitieuse, je vois haut et je vois loin. Je suis redevenue la même, en pensant aux drames que vivaient mes amis… Je suis redevenue la jeune fille douce, calme et attentive que j’étais. J’étais toujours le genre à faire passer les souffrances des autres avant les miennes, c’était ainsi. De les écouter et de faire ce qui était possible de faire pour eux. Leurs bonheurs quotidiens étaient aussi les miens. Mais attention, je suis simplement une bonne amie… Je ne souffre pas à leur place… Je considère qu’ainsi, j’ai fait ma tâche.

De plus en plus, j’en suis arrivée à la conclusion que rien ne sera jamais comme avant. Je me suis ouverte de nouveau, cessant de broyer du noir. Je suis comme ça, je me renferme lorsque quelque chose ne va pas. Et je connais des gens colériques, je ne trouve pas qu’être colérique règle tout. C’est certain que ça peut aider à ne pas vous faire marcher sur les plates-bandes mais après? Disons que je reste professionnelle dans tout ce que je fais. Et que lorsque ça ne va pas, une partie de foot ball ou encore un peu de basket ball ne nuit pas, après tout, j’ai un esprit de compétition relativement bien entraîné! Ne pensez pas que je suis la petite fille frêle et douce toute innocente, vous tomberez également dans le panneau. Mais quel genre menteuses nées suis-je… Un mystère, sans aucun doute.


& . Physique & Style Vestimentaire :
« Miroir, miroir, dites-moi qui est la plus belle… » Quelle drôle de phrase que je répétais souvent en m’amusant devant le miroir avec ma mère… Lorsque j’étais petite, je m’amusais avec maman, nous portions des robes au style moyenâgeux et nous nous maquillons, quoi que dans ce cas, elle me maquillait alors que je lui faisais une bouche de clown avec le fameux rouge-à-lèvres… Nous pouvions rester dans le grenier de chez grand-mère une journée entière à nous amuser avec les déguisements. Et à chaque fois, je disais à maman « Miroir, miroir, dites-moi qui est la plus belle… » et elle me répondait que c’était grand-mère et ça finissait en bataille et je succombais de rire sous les chatouilles. J’y suis retournée durant les vacances précédentes, revoir… Ce style était si différent de ce que je porte maintenant. Les longues jupes du style bohème, je les avais laissé tomber. Je n’aime pas particulièrement les jupes, je trouve que c’est un peu étrange. Bien entendu, comme toute jeune fille qui se respecte, lorsque je sors, je porte les jupes les plus courtes, les plus inimaginables… Et en ce qui concernait les hauts, Oh mon Dieu! Ils étaient si amples et trop grands pour moi, je flottais dans ceux-ci avec la poussière. Désormais, je crois que j’aime bien mon style, je porte ce que j’aime. J’ai une petite préférence pour les débardeurs simple mais les petits t-shirts à logo marrants me font craquer à chaque fois.

Alors que je suis descendue du grenier avec une robe de mariée, papa me déclarait que de jours en jours, je ressemblais de plus en plus à maman… C’était sa robe de mariée, qu’il m’avait dit. Puis, je remontais dans le but de me changer et je m’observais attentivement dans ce miroir. Mes longs cheveux blonds qui m’arrivaient dans le bas du dos, sans rallonges ni quoi que ce soit. Je ne portais pas de maquillage, chose généralement habituelle… Je me regardais dans ce miroir et à travers mes yeux, je retrouvais ceux que je cherchais depuis un moment, notamment ceux de ma mère. Les larmes me venaient aussi rapidement qu’un éclair, je retirais lentement la robe en me demandant si j’allais me marier un jour. Un corps svelte était apparu, le mien. J’étais mince et j’avais de jolies courbes, selon mes amies, j’étais la dernière qui devait se plaindre de son corps et par respect pour elles, je ne le faisais pas. Mes amies me le disent sans même que j’aie besoin de leur demander; je suis jolie et ainsi va la vie d’une jeune blonde au mètre soixante-quinze.

Your Story__*

& . Histoire : {Un minimum de 30 lignes vous est demandé}

& . Votre Secret : Aucune surprise… Ma mère est morte lorsque j’avais 13 ans, et je ne sais pas mais rien n’est encore vraiment passé. Mon deuil n’est pas fait, ma mère me manque, jour après jour. Et il y a des choses que je ne peux pas dire à mon père que je dirais tellement à ma mère. En attendant, je prie pour elle le soir avant d’aller dormir. J’ai une petite photo d’elle dans mon portefeuille, la photo de nous avant sa mort, 46 heures très exactement. Et à chaque fois que je la regarde, les larmes me montent aux yeux et j’ai envie de mourir pour être près d’elle. Dans un sens , papa n’aide pas non plus. Il me dit que maman serait fière de moi mais s’il savait à quel point maman me manque et à quel point, je voudrais qu’elle soit près de moi… À chaque jour. Je pense à elle plus que jamais, mais plus le temps passe, plus mes souvenirs deviennent flous et je m’en veux terriblement.


Your Relation__*

& . Vos Relations :
Mélinda A. Turner (Sophia Bush) : Mélie, amour de mes jours ! Ha ! ha ! Elle trouve que je suis un ange, mais je dirais plutôt que c'est elle l'ange. Elle a un si grand coeur que j'aurai peur qu'il explose à sa place!

Kenzie B. Dawson (Kristen Bell) : Ken & Barbie ! Rahh ! On est toujours ensemble, et je ne m'ennuie jamais avec elle. C'est ma fofolle préférée, toujours à dire des trucs insensés mais qui me font tellement rire !

Amber D. Johnson (Hayden Pannetiere) : J'adore Amber ! Elle est un peu comme ma petite soeur. Petite soeur que je n'ai jamais eu ... Malgré tout, je la sens encore très perturbée ...

Josh D. Brown (Jared Padalecki) : Ah! Josh! Il y a un temps ou il était amoureux de moi, n'est-ce pas mignon ? Tout compte fait, nous sommes bien amis! Bien sûr, il ne me laisse pas indifférent, mais ...

Orlando Lopez (Penn Badgley) : Ça, c'est le ''Mais...'' dont je vous parlais. Je l'aime, il n'en fait aucun doute, mais je le trouve étrange parfois. Il a toujours le regard ailleurs (et où il ne faut pas lorsqu'on est en couple) et ne me démontre que très rarement qu'il tient à moi ... Je ne sais pas ce que je compte faire, très honnêtement. Sa façon de regarder Kenzie en ma présence me tue à petit feu. Moi qui prône la loyauté…

John Woodward (Stephen Colletti) : Mon petit Johnny !! Je l'adore, il n'y a rien à redire! C'est un très bon ami que je ne voudrais vraiment pas perdre!



You Like/Hate__*

& . Repas Favoris : Je ne sais pas vraiment si ça compte mais j’adore les salades de macaronis… Et les bananes. Quoi?
& . Livre Favoris : Je dois avouer que j’aime lire… Je lis à peu près tout. J’ai bien aimé les livres de Stephenie Meyer de la série Twilight.
& . Film Favoris : Film? Je ne suis pas difficile. J’aime un film ou je ne l’aime pas, il n’y a pas d’entre deux. J’adore également faire des critiques sur ceux-ci. Mais un seul préféré? Vous en êtes certains? Je dirais the Notebook. Film classique mais qui réussit toujours à me faire pleurer.
& . Vous aimez : J’aime le sport, c’est une passion indémodable. J’ai pratiqué pas mal tous les sports durant ma jeunesse. Soccer, Football, Basketball, Baseball, Course… J’Adore ça. Ça me garde en forme et j’ai l’esprit de compétition. Vous savez le dicton qui dit qu’on a pas d’amis dans les sports? Pour moi, c’est vrai. Je ne m’excuse pas et je fonce. Je m’abandonne ainsi au sports.
& . Vous détestez : Née dans une famille qui prône la loyauté, je suis une adepte. Je n’aime pas les gens qui sont infidèles, qui sont du genre à aller voir quelqu’un d’autres dans le dos de leur copain/copine en croyant que ça ne la/le blessera pas. Au contraire, c’est beaucoup plus blessant. Je déteste les hypocrites et il faut faire la différence entre les menteurs et les hypocrites, trèèès important.
& . Un Signe distinctif ? Je suis une Inversus.


Behind The Screen__*

& . Prénom ou Surnom : Queen P.
& . Age : I’m 16 since Oct. 02.
& . Comment as-tu découvert Carlson Center ? My Best frieeend that I looove <3
& . Comment trouves-tu le design général ? Le Contexte ? Les postes vacants ? Bon Minute papillon. Design Général j’aime. Contexte : J’adore. Postes Vacants : J’les aime ^^
& . Autre chose ? Rien à dire xD
& . Code du réglement :

Spoiler:

& . Exemple de Post RP : {En Spoiler}

Spoiler:

Merci Bien & J'ai terminé. L'Histoire est ci-dessous.

& . Histoire :
Il était une fois… Non, ma vie n’est pas un conte de fée, malheureusement et heureusement. Malheureusement parce que j’aurais aimé être de la royauté et être une de ces jolies princesses avec des tas de soupirants et une vie pseudo parfaite. Heureusement parce que je n’aurais probablement pas supporté la pression et toutes les choses auxquelles je devrais me conformer. Mes deux parents sont bien différents, ma mère Emma Lindberg est une infirmière, rien de véritablement particulier. Avec ses longs cheveux blonds et ses yeux bleus, elle faisait craquer un bon nombre de patients alors que les relations infirmières & patients sont interdites et cela depuis toujours. Ma mère était une femme relativement jeune lorsqu’elle m’a eut, elle était âgée de 22 ans, très exactement. C’était quelqu’un de très joviale, de fêtard et d’optimiste, par contre, elle était très insécure et contrôlait mal ses réactions. C’est une suédoise d’origine mais elle a des racines française. Mon père, lui, c’est un homme merveilleux. Il se nomme Jonas Soderberg. C’est mon homme à tout faire et principalement, mon père. Très honnêtement, je n’aurais pas pu rêver d’un meilleur père… Il était amusant et attentionné. Vous savez le genre de père que l’on envoie de force à l’épicerie pour nous ramener des tampons? Ma mère et moi précisions lesquels mais il ne les trouvait jamais et il y retournait jusqu’à temps qu’ils trouvent les bons. J’ai toujours été très proche de lui, tout comme ma mère. J’entretiens de bons rapports avec mes parents, tout deux savent tout de moi. Il travaillait comme garagiste, quelque chose de simple, je dirais. Il avait son petit garage Jonas inc. Son entreprise… Mais dans ses loisirs, il m’a éduqué comme une jeune fille attachante mais à la fois sportive mais ma mère s’occupait du côté plutôt féminin.

Toute mon enfance s’est déroulée sans anicroches. Alors que j’étais petite fille, mes parents m’envoyaient dans une école privée et à savoir, catholique pour les filles. Je n’ai jamais rencontré de jeune homme dans mes cours, ce à quoi est probablement dut mon manque d’expériences avec les garçons. J’ai grandis et à mes 13 ans, quelque chose de tragique arriva. Ma mère m’avait demandé de m’installer à la table, c’était au mois de janvier pendant un début de neige, je me souviens. Elle m’avait dit que notre semaine de vacances qui était censé se dérouler au Mexique ne se ferait pas. J’étais intriguée, j’étais assise dans la cuisine qui m’était pendant quelques instants relativement étrangère. Je regardais ma mère et mon père, leurs mains étaient entrelacées. Ma mère m’expliqua patiemment qu’elle avait une maladie, héréditaire, probablement. Un cancer. Le monde s’est arrêté de tourner. Elle s’était vite expliquée en disant qu’elle devrait faire de la chimiothérapie et que le cancer s’était propagé mais qu’elle pourrait être sauvée. Je me souviens que je n’ai pas réagit. Je n’ai même pas bougé. J’étais terriblement déstabilisée, la seule chose que j’avais réussit à articuler était un « Oh! » et je suis partie dans ma chambre pour m’isoler pendant quelques minutes. Les larmes eurent raison de moi et la rage, l’impression d’être impuissante. J’ai mis mes shorts blanches, malgré la température qui régnait à l’extérieur, j’ai enfilé amèrement mes espadrilles et un débardeur brun avec un soutien-gorge assorti et je suis partie de la maison, à la course. J’ai couru. Longtemps, trop longtemps parce que j’ai été forcée de m’arrêter à cause que mes orteils étaient endoloris. Et lorsque je suis rentrée chez moi, j’avais fais les trois villages voisins en courant à travers la pluie et mes larmes. Mes parents se sont inquiétés en voyant mes pieds en sang et mes lèvres bleues… Je suis allée dormir et j’y ai songé.

Malheureusement, il semble que j’y ai songé trop longtemps parce que c’est en juin que ma mère dépose son âme. Le 23 juin, très exactement. La journée où j’ai le plus pleurer, quelques jours avant, elle avait subit une paralysie des jambes. J’ai pleuré, j’aurais aimé lui donner quelque chose, mon corps. Ma mère méritait de vivre plus longtemps. Lorsqu’on perd quelqu’un de proche à nous, on a l’impression de tout perdre. Que notre monde s’écroule… Moi, j’avais perdu la moitié de mon univers. Je voulais mourir, en me disant que peut-être je la reverrais de nouveau. Mon père, ayant trop peur pour moi m’a forcé à aller voir une psychologue. Ça me traumatisait un peu, pour tout vous dire… J’ai toujours considéré que les psy’ ne savaient pas de quoi ils parlaient, ils ne l’avaient jamais vécu.

Tout a changé alors que j’avais 16 ans, j’ai décidé de m’envoler vers les Etats-Unis d’Amérique, pour une bonne raison. Une école d’espion. Étant une jeune fille très sportive, je pouvais tout faire… J’avais fait bien des sports de combat. J’étais une fille intelligente et j’apprends vite, aucune raison pourquoi ils ne me sélectionnerait pas. J’ai ainsi posé ma candidature et j’ai été acceptée. Depuis mes 16 ans, je suis au Carlson Center. Il s’est passé bien des choses, la déclaration d’amour de Josh à mon égard, mes amies et Orlando et moi. Tout se passe si vite, je n’arrive pas à croire que ça fait déjà 6 ans que ma mère est morte… J’ai peur à quelque part de tout perdre, du jour au lendemain. Même si je sais qu’en sortant un seul pied de la maison, tout peut arriver… Mais ainsi va la vie!