# Nate Carlson |ADMIN| { FINI }

WHO I AM ?

# Nate Carlson |ADMIN| { FINI } 241qgwj

Parce que la vie vaut toujours la peine d’être vécue.

Before Everything__*

.

X

Little description__*

.

*

Disponible

*

Amusant

*

Energique

*

Tolérant

.

* Têtu
* Bagarreur
* Un peu trop timide
* Impatient

.

{Un minimum de 5 lignes vous est demandé}

.

{Un minimum de 7 lignes vous est demandé}

Your Story__*

.

{Un minimum de 5 lignes vous est demandé}

Your Relation__*

.

Kenzie B. Dawson

James Davies

Andrew R. Scott

Samuel Legall

Lukas Del Marquez

You Like/Hate__*

.

Hiiihiii, c'pas ma faute à moi ! Il est tellement bien ce bouquin !
Moi aussi, je crois bien qu'il va falloir que trouve un petit surnom ! ^^

Mdr ! Oué, c'était dur à trouver mais, je crois que 'Zizie est un surnom très mignon, pas vrai ? # Nate Carlson |ADMIN| { FINI } 505584

Oui, je sais ! { # Nate Carlson |ADMIN| { FINI } 56635

}
Bon allez, 'serais p'tet temps que je fasse mon histoire ... ^^

Your Story__*

.

{Un minimum de 25 lignes vous est demandé}

- Il faut bien commencer quelque part, qu’il disait ! -

« Le temps est enfin venue que je vous raconte mon histoire. Comme toutes celles des autres personnes, elle est faite de hauts et de bas. Pour ma part, je ne suis pas une personne à plaindre, j’ai eu un beau début de vie, enfin les quatorze premières années, en tout cas. Je n’ai que dix huit ans alors, raconter ma vie va être rapide, sans compter sur le fait qu’elle a également été simple et pas si remplie que ça ! Ce n’est pas non plus pour autant que j’aime en parler. Je n’ai jamais eu comme passion de parler de moi {Quoique ?} ... Mais quand il faut, il faut ... Tout commence donc un certain 21 juin, de l’année 1990 ...

- « HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! »

Alors que ma mère essayait vainement de faire éclater les tympans de son obstétricien, je semblais m’impatienter dans le ventre de ma mère. Il faut bien le dire, neuf mois dans un espace aussi réduit, on est content d’en sortir ! Tiens, c’est peut-être même de là que je tiens ma claustrophobie ! Bref, une petite dizaine de minutes plus tard, l’hôpital le plus proche vu naître un beau petit bébé. Ma mère, à cette époque, allait sur ses vingt six ans et paniquait un peu à l’idée d’avoir un premier enfant, surtout avec un mari comme le sien.

- « Il s’appellera Nate, comme son grand-père ... »

Quoi de plus ringard ? J’y crois pas ! Je m’appelle comme mon grand père ? Ah bah, je me comprends, maintenant ! Enfin, je veux dire que je comprends la raison pour laquelle je prenais de la drogue ! Oups, non, là, on a un petit peu trop avancé dans le temps ! Revenons un peu en arrière ... Ma mère pleurait, en me tenant dans ses bras fatigués. Mon père n’était pas à ses côtés, le jour de ma naissance. Eh bien non, figurez-vous, il ne s’était pas donné la peine de venir, il était au boulot ! Aujourd’hui, je ne m’étonnerais plus de ça ... Ma mère, une femme douce et assez sensible, avait ressentie cette absence comme une trahison, et je la comprends bien ! Etre toute seule alors qu’on met un enfant au monde, ça ne doit pas être la chose la plus facile à digérer. Et Liam, mon père, est arrivé au moins trois quart d’heure en retard pour cause de « boulot ». Personnellement, je trouve cela assez pitoyable mais bon, on s’y fait avec le temps ! »

- Une enfance quelque peu ... Sportive. -

« J’étais né, pas dans les meilleures conditions possibles mais, j’étais là, sur la Terre, mes yeux verts grands ouverts et mon visage déjà éclairé d’un joli sourire. Je ne m’en souviens pas mais, mon père a eu droit à la plus grande engueulade jamais créée sur cette Terre ! Je crois bien, je suis persuadé même, que c’est pour ça qu’il s’est pointé une heure en avance pour la naissance d’Eileen. Et oui, arriver en retard, ça ne l’aurait pas fait non plus ! Donc, comme je vous le disais précédemment, une petite fille, une nouvelle Carlson du nom de Eileen a vu jour à Portland, un an après moi. Je l’ai tout de suite apprécié cette petite tête brune. Bon oook, j’avais que un an, je ne m’en souviens pas du tout mais bon, on peut tenter, non ? Bref, on a grandi, on est devenu des enfants et mon père a jugé que je pouvais commencer à m’entraîner. J’avais dans les sept, huit ans et je m’entraînais tous les jours. Footings, sport en tout genre, jamais mon père ne trouvait que l’on en faisait assez. Eileen me suivit de près dans cette « éducation ». Nous étions, à cette époque, inséparables alors, imaginez que l’on passe une journée sans se voir. Non, à l’époque, c’était impossible et totalement impensable. Notre mère, Chloé, essayait le plus possible de raisonner notre père, de lui faire comprendre que des enfants n’étaient pas des machines à s’entraîner, qu’ils devaient tout simplement s’amuser, sans tout le temps chercher à savoir si ce qu’ils faisaient était suffisamment rapide, suffisamment discret, si leurs gestes seraient repérables ou non ... Enfin tout un tas de choses dont un enfant de huit devrait ignorer totalement. Globalement, nous avons été heureux. Après tout, nos parents nous aimaient. Ils essayaient toujours de nous donner le meilleur mais, mon père était quelqu’un de vraiment trop ambitieux. A peine sortis du ventre de notre mère, nous étions déjà destinés à devenir de grands agents secrets ! »

- Et une adolescence encore pire ... -

« J’ai grandi, comme tout le monde, ou presque, et je suis devenu un ado. Cette période de ma vie a été la période la plus géniale et la plus difficile de ma vie. Mon père continuait les entraînements, plus que jamais, et à quatorze ans, j’ai bien fini par me rebeller. Et oui, car c’est à quatorze ans que j’ai commencé la drogue ... A l’école, il n’était pas vraiment difficile de s’en procurer et il suffisait d’aller à des fêtes pour pouvoir en consommer gratuitement ! On dit souvent que la drogue est illégale. Du coup, je n’ai toujours pas compris pourquoi il est aussi facile de s’en procurer ! Ces années-là, j’ai du passer plus de temps à planer qu’à étudier. Et étonnamment, ou pas, j’ai adoré ça ! Je ne faisais absolument rien pour une fois, j’avais l’impression que le monde autour de moi s’arrêter enfin de tourner à cent à l’heure et que mon père avait arrêté d’être mon père ... Qu’il n’était plus qu’un étranger et qui ne savait même pas qui j’étais. J’aurais tellement aimé parfois que cela soit vrai !
Mais, je continuais de surveiller ma sœur et celle-ci semblait vouloir à tout prix m’énerver en sortant avec tous les garçons du lycée. A chaque que je la réprimandais à propos de cela, elle me répondait qu’alors, je n’avais qu’à arrêter de prendre de la drogue. Elle n’était pas sure que j’en prenais ... Enfin jusqu’au jour où mon père l’a découvert. Je me souviens encore tellement de son regard quand il m’a surprit dans ma chambre, en train de me piquer. J’ai cru qu’il me haïssait ... Il n’a pas réfléchi bien longtemps et à décider de m’envoyer en centre de désintoxication. Quelques mois plus tard, je rentrais et revoyais mon père, dégoûté de ne pas avoir un fils comme il l’avait tant espéré. Il ne me l’a jamais dit, en face mais, je le sais très bien. Je l’ai toujours su ... Et puis, je suis rentré au centre, un an avant Eileen. Bizarrement, moi qui cherchais à tout prix à énerver mon paternel, j’ai adoré ! C’est d’ailleurs au centre que j’ai rencontré Kenzie B. Dawson, Andrew R. Scott et James Davies. Ce sont, aujourd’hui, les personnes qui comptent le plus à mes yeux ...
Et puis, dans ma vie, un drame est survenu. Il y a deux ans, ma mère est tombée gravement malade. Et c’est l’année dernière qu’elle nous a quitté, qu’elle nous a abandonné, moi et Eileen tout seuls avec notre vieux. Et pour ça, je la hais ! Elle n’avait pas le droit de nous laisser tout seuls, elle n’avait tout simplement pas le droit et elle est partie. »

- Le début de la fin. -

« Le temps est venu. Je me dois de remercier mes parents, sans qui je ne serais pas là, ce soir ... Euh, quelqu’un a dit que je devais être sérieux ? Eh bien, tant pis pour lui.
Aujourd'hui, j'ai dix-huit ans, je suis célibataire et j’étudie dans le meilleur centre qui existe au monde. Cependant, je ne sais pas encore à quoi va ressembler mon avenir ... »

Behind The Screen__*

& . Prénom ou Surnom : Marlene, La toxico’ pour les intimes ...
& . Age : 17 Automnes ...
& . Comment as-tu découvert Carlson Center ? Cette question est vraiment trop difficile pour moi ...
& . Comment trouves-tu le design général ? Le Contexte ? Les postes vacants ? Absolument parfait, n’est-ce pas ? ^^
& . Autre chose ? IL FAIT BEAU !!! Ca y est, on est en été ! {J’voulais tout de même le souligner ! C’est un événement important !}
& . Code du réglement :

Spoiler:

& . Exemple de Post RP :

Spoiler:

Etudier ? Boff ... En revanche, s’éclater, oui ! Aujourd’hui, après quelques joints d’origine plus ou moins douteux, il n’était absolument pas question pour Tom d’aller en cours ... De toute manière, quand était-il question d’aller en cours ?

Mais, ne pas aller en cours ne signifie pas exactement ne pas aller à l’université ! Au contraire ! Mais pour l’instant, là n’est pas la question. En réalité, là, il est presque onze heures et Thomas Drew Moore vient tout juste d’émerger. La nuit avait été ce que l’on peut appeler courte ... A savoir environ cinq bonnes heures de sommeil, entrecoupées de petits trajets vers les toilettes pour soulager un mal de ventre aigu du à une consommation sans modération d’alcool fort. Les yeux à peine ouverts, Tom avait attrapé sur sa table de chevet un joint qui traînait et qui fumait encore. Direction la salle de bain, à présent ... Le jeune homme eut l’occasion de se prendre les pieds une bonne dizaine de fois dans les vêtements qui traînaient sur le sol avant de comprendre qu’il s’était trompé de route ... La porte, en effet, était de l’autre côté de la pièce. En bref, il galèrait comme un pingouin en Amazonie après cette nuit ordinaire pour lui ... Traduction : il était pas arrivé ! Doucement mais sûrement, telle était la devise du jeune Moore ! Thomas, toujours agrippé à sa « cigarette » hallucinogène, parcourait maintenant le couloir d’un pas instable. Il poussa la porte et se posa devant le miroir, levant pour la première fois de la journée ses yeux aux pupilles dilatées. La tronche qu’il avait aurait pu être un bon déguisement pour une soirée costumée. Un déguisement de junkie, en fait !
Les pupilles de Tom étaient bien plus grosses que d’habitude. Enfin, « d’habitude » est un euphémisme quand on parle du jeune Moore. Thomas n’est pas souvent clean, si vous voyez ce que je veux dire. Bref, continuons ... De par ses yeux presque complètement noirs, le jeune brun pouvait observer son reflet à sa guise. Il était torse nu et sur sa poitrine, on pouvait remarquer son tatouage noir, ainsi qu’une belle et large cicatrice d’au moins cinq centimètres.

- « Eh ben, punaise ... »

En disant cela, Thomas passa sa main sur son visage abîmé. La nuit, en plus d’être courte, avait été rude ! Sa lèvre du bas était ouverte et son arcade sourcilière paraissait bleutée. La bagarre de la veille ne lui avait pas réussi ... Peut-être qu’après tout, la personne en face en avait eu aussi pour son grade ! Malgré sa mémoire totalement altérée, il l’espérait fortement ! Sa peau était blanche, voire laiteuse et Thomas avait un air maladif. Pourtant il se sentait bien, reposé et apaisé ... Il n’avait plus mal nulle part, au contraire. Il se sentait engourdi de partout et pour tout vous dire, ça n’était pas désagréable. Chaque mouvement qu’il faisait, chaque pas ... Il avait l’impression de ne rien sentir. C’était absolument jouissif. Voila pourquoi il aimait sa drogue ... Quand on en prend, everything is cool ! Tom jeta alors un coup d’œil autour de lui, avant d’arrêter son regard couleur océan sur la cabine de douche. Ouh, ça s’était une bonne idée ! Avant de poser le pied sur le sol froid de la douche, Thomas attrapa sa brosse à dent. Et oui ... On peut être propre tout en étant drogué ! Pas cool, ça ?

Finalement, après une bonne vingtaine de minutes dans la salle de bain et quelques autres destinées au trajet, Thomas se retrouva devant l’entrée de la fac. Il était onze heures et demi à peu près et les cours allait bientôt se terminés pour laisser place au déjeuner. Pour l’instant, l’université était silencieuse. Le calme avant la tempête ! Thomas en profita pour filer vers le foyer, de son habituel pas las et plutôt lent. Ah, ça y est, vous avez compris ! Eh bien, Thomas est un véritable fana de baby-foot et de billard et croyez-le ou non, les baby-foot et les billards de la fac sont gratuits, contrairement à ceux des bars ! Hu’, hu’, c’est bien pour ça que Tom se retrouve ici de si bon matin ! Ok bon, il n’est pas tôt mais pour notre jeune brun, se réveiller avant midi, c’est quand même pas une habitude !
Thomas poussa la porte grinçante du foyer et entra en silence. De la musique résonnait dans la pièce lumineuse. Du rock ... Le jeune Moore se surprit à sourire. Il avait toujours adoré Coldplay ... Le foyer n’était, à sa grande déception, pas entièrement vide. Deux filles blondes de première année discutaient, assises sur un des vieux canapés de la petite salle. La première qui remarqua Thomas lança un regard éloquent à l’autre. Le nouvel arrivant haussa les sourcils, d’un air exaspéré et assez contrarié. Eh oui, après un an, Thomas Moore était toujours l’ennemi public numéro un, le tueur, l’assassin. Tout ce que vous voulez. Et quand les gens n’avaient pas peur de lui, ils le regardaient avec curiosité, colère, ou même parfois avec pitié. Quand les gens faisaient ça, Thomas avait envie de vomir. Encore une bonne raison de prendre de la drogue, notez-le bien !
Thomas se dirigea alors vers le billard et plaça les boules dans le triangle tout abîmé de la fac. Il attrapa une canne et commença sa partie. Au bout d’à peine cinq minutes, la quasi-totalité des boules se trouvaient dans les trous. Il n’en restait plus que trois. Thomas plaça sa canne et donna un coup étonnamment un peu maladroit sur la boule rouge. Celle-ci ne resta donc pas collée au tapis mais, partit valdinguer dans les airs. Quand Thomas leva les yeux, il ne put que remarquer qu’il avait atteint quelqu’un avec cette boule ... Et que ce quelqu’un n’était autre que sa petite sœur !

valide

# CHAMBRE :

COLOCATAIRES :

» Topics d'Eileen A. Carlson
» Eileen Anatole Carlson
» Eileen Anatole Carlson [U.C]
» Absence de Nate !
» &. Nate's Links