Once Upon a Time...

Josh devait attendre10minutes avant d’aller dans la chambre d’Anna pour se reposer dans sa chambre avec elle. 10 minute qu’il profita pour prendre son petit déjeuner qu’il n’avait pas prit encore, se brosser les dents ensuite, et ensuite il était allé dans sa chambre a lui attendant tranquillement que le temps passait, il s’était allonger dans son lit et les mains derrière sa tête il se mit a rigoler de ce qu’avait dit Anna avant de partir, il avait déjà rigolé sur le coup mais maintenant qu’il y repenser il rigolait a nouveau. Sacré Anna, elle lui avait dit qu’il ne devait pas compter a ce qu’elle l’attende en sous vêtements, Josh le savait déjà et d’ailleurs le jeune Brown voulait prendre son temps, il ne voulait pas brusquer les choses ou quoi que se soit.

Il entendit ensuite sont portable sonné, il avait exprès mit l’alarme au cas ou il s’endormait ou si il n’y pensait plus pour aller la rejoindre. Il rangea son portable dans sa poche, et sortit de sa chambre dont il ferma la porte à clefs et s’en alla tranquillement.

Sur le chemin il croisa plusieurs profs qui se baladaient, heureusement il avait su les éviter sinon bonjour les ennuis étant donné qu’il devait être en cours, il arriva ensuite devant la chambre d’Anna et comme elle le lui avait dit il ne frappa et entra directement, bien sur il était déjà venu plusieurs fois dans cette chambre donc il connaissait et savais comme c’était. Il s’assied sur son lit et attendit tranquillement, il ne la voyait pas donc au lieu de la chercher il avait fait exprès de ne pas faire beaucoup de bruit et de l’attendre, comme sa elle ne se dépêchait pas et prenait tout son temps. Joshua n’a jamais aimer presser les gens et les faire se dépêcher il préférait les laisser leur prendre leur temps etc.…. bien sur quand il devait se dépêcher c’était autre chose, sinon il leur laisser pendre leurs temps.

Enfin bref… le jeune Brown était assis sur son lit, et reçu un message de ses parents qui leur demandait des nouvelles, si il allait bien et les autre choses habituelle, alors il leur répondit que oui tout allait bien, qu’il n’avait rien de spécial a raconter, hormis le fait qu’il était presser de les voir etc.… puis il retourna la question.

Le jeune homme regarda ensuite les quatre murs de la chambre tranquillement en regardant les décorations etc.… C’était beaucoup plus rangé et décoré que dans la siennes, dans sa chambre ce n’était pas très très rangé mais quand même un peu, et la chambre était un petit peu vide, mais il s’en fichait il était bien la ou il était, si il pouvait changer une chose c’était celui avec qui il partageait la chambre, Orlando, quelqu’un qu’il n’appréciait pas du tout, mais vous savez déjà pourquoi il ne l’appréciait pas. Enfin bon, revenons a nos moutons, Josh attendant dans la chambre d’Anna qu’elle apparaisse pour faire la sieste, parler de tout et de rien ou bien de la recouvrir de câlin et de petit bisous, étant donné que le jeune Brown était quelqu’un d’affectueux.

Je m’étais dépêchée malgré ma lenteur de maladie excessive… Arrivée dans ma chambre, j’avais mit mes vêtements dans le fond du placard, par contre, j’avais laissé mes shorts et mon débardeur sous mon lit. C’était comme ça les chambres de demoiselles, tout était camouflé sous le lit ou dans les placards et lorsqu’on ouvrait la porte, tout nous tombait dessus. Je m’étais glissée sous la douche, lavant mes cheveux à la vitesse de l’éclair. Heureusement qu’ils étaient minces parce que sinon, je ne m’en sortais pas. Me lavant rapidement, je sortis de la douche pour ensuite enfiler ce que j’avais prévu… Mon soutien-gorge bleu avec des nuages, la culotte assortie, un bas de pyjama bleu poudre et le classique t-shirt : « I <3 New York » un peu trop grand pour moi. Je fis sécher mes cheveux pour ensuite les laisser en air libre. Je sortis de la petite pharmacie un thermomètre que je me mis dans le bec. 39° … Ma fièvre avait effectivement baissée, elle était à 43° un peu plus tôt … Mais maintenant, j’allais bien. Enfin, mieux. Mais pas encore assez pour me concentrer en cours. Je me frisais le bas des cheveux avec mon fer à friser et quitter la place au final… J’ouvris la porte pour aller ranger mes choses et retourner dans la salle de bain pour m’asperger de spraynet et ranger un peu la salle de bain. Je venais tout juste de me rendre compte que mon t-shirt blanc détonnait avec mon soutien-gorge bleu mais bon, je crois que ça devenait un peu comme une habitude… Il n’était pas rare de me voir avec un débardeur noir et un soutien-gorge blanc… Cherchez l’erreur.

Je sortis finalement de la chambre en plaçant mes cheveux, je sentais la brume pour le corps aux cookies, miam! Je me l’étais acheté le week-end dernier en faisant du shopping… J’adorais la senteur et pour 10$ j’avais pu me le procurer. Je ne portais pas de maquillage, j’étais malade, je N’allais quand même pas me maquiller comme si je sortais en boîte. Je regardais dans ma chambre puis je vis Josh allongé sur mon lit ce qui me fit sourire. Je m’approchais de lui lentement avec une démarche des plus gracieuse pour m’allonger à ses côtés et fermer les yeux un court instant. Je pris son menton du bout des doigts pour l’amener jusqu’à moi où je posais lentement ses lèvres contre les miennes, un baiser qui avait été attendu.

- Contente de te revoir.

Avouais-je sagement, je pris la couverture tout doucement que je mis sur nos pieds, en fait, sur mes jambes et sur ses pieds, il était plus grand que moi. Il devait frôler le mètre quatre-vingt cinq alors que moi je faisais un mètre soixante-dix, environ. Je n’étais pas des plus grandes mais je n’étais pas à plaindre non plus. Je caressais sa joue doucement pour découvrir que sa petite barbe commençait à pousser ce qui me fit sourire. Je posais quelques baisers dans son cou pour soupirer tout doucement, j’étais bien dans ses bras. Je le regardais doucement, avec Orlando, ce n’était jamais arrivé… Je comparais tellement trop souvent tout mais, là. Ça me rendait mal. Qu’allais-je faire? J’étais mal à l’aise avec ça. Je regardais ce cher Joshua.

- Tu crois qu’on va se faire prendre à s’embrasser comme ça… ? Ça va pas être un peu difficile de cacher ça ? Parce que ça fait que quelques heures qu’on est ensemble et j’appréhende déjà le moment où tu devras t’éloigner…

Effectivement, je n’osais même pas m’imaginer comment ça serait lorsqu’il partirait voir sa famille… Ça me ferait probablement très mal au niveau psychologique et penser à mes parents qui voudraient que je les vois plus souvent. Pleine d’espoir, je poussais un petit soupir me rapprochant de lui, nos odeurs s’entremêlaient ce qui me faisait sourire… Mon odeur de biscuit et la sienne, la naturelle je m’approchais de ses lèvres pour l’embrasser doucement mais j’étais aguicheuse puisque je ne faisais que jouer…

Josh n’était pas du genre a ranger ou en cachant tout, soit il rangeait. D’ailleurs en ce moment c’était assez désordonné dans sa chambre, il y avait quelques vêtements par terre et les affaires des cours un peu partout dans la chambre, par contre le lit était quand même fait, c’était déjà sa. Mais bon il allait bientôt tout ranger et nettoyer la chambre a fond, avant que ça n’empire.

Le jeune Brown s’était changer avant de venir, il s’était habiller d’un jean tout simple, qui était un peu usé en bas mais qui n’était pas troué, il portait aussi un T-shirt à manche longue blanc, il n’avait rien de très spécial, mais Josh l’aimait bien. Il était donc dans la chambre d’Anna à l’attendre tranquillement, en l’attendant il regardait un peu la décoration et était allonger sur son lit, qui était très confortable et il n’était pas trop petit. Parce qu’une fois alors qu’il était en vacance avec des amis il dormait dans un lit qui était trop petit, alors ses pieds dépassaient du lit et ce n’était pas confortable du tout, alors que dans le lit d’Anna, ils ne dépassent pas et est très confortablement installé.

Puis au bout de quelques minutes il la vit sortir de la salle de bain et même avec un bas de pyjama bleu et son T-shirt « I <3 New York » trop grand pour elle, il la trouvait belle. Il la vit s’approchait lentement de lui puis s’allonger a ses coté et prendre son menton du bout des doigts pour déposer ses lèvre l’entements sur les siennes, depuis qu’elle était partit en ayant frôler ses lèvre sans lui déposer un baiser, il était devenu impatient de le recevoir (:p), non honnêtement il n’avait pas été impatient, d’ailleurs ce qu’elle avait fait l’avait fait sourire. Il l’entendit ensuite lui dire qu’elle était contente de le voir, il la regarda pendant un moment avant de lui répondre avec le sourire :

« Moi aussi je suis content de te voir ! Et tu m’as rendu triste comme t’es partit en frôlant mes lèvre sans m’embrasser !»

Il fit une petite bouille triste, puis se mit a sourire et la sentit lui caresser la joue et l’embrasser plusieurs fois dans le cou, ce qui lui fait sourire, il l’a prit ensuite dans ses bras et l’embrassa sur le front et se mit à passer sa main dans ses cheveux tout en la regardant. Il était si bien avec elle et en l’ayant dans ses bras, il pouvait rester comme sa pendant des jours sans s’en lasser. Ensuite il l’écoute lui dire « Tu crois qu’on va se faire prendre à s’embrasser comme ça… ? Ça va pas être un peu difficile de cacher ça ? Parce que ça fait que quelques heures qu’on est ensemble et j’appréhende déjà le moment où tu devras t’éloigner… » Il se mit à réfléchir quelque seconde et tout en remettant une mèche de ses cheveux derrière son oreille d’un geste lents et doux pour voir son visage et lui répondit :

« C’est sûr que ça va être difficile a cacher, mais je pense qu’on va réussir à cacher qu’on est ensemble, mais si on se fait prendre tant pis, du moment qu’on est ensemble, je m’en fiche un peu, l’important c’est que tu es avec moi ! C’est pareille pour moi j’ose pas imaginer comment ça va être quand on sera séparé et quand on devra faire semblant de ne pas être ensemble, ça va être dur de résister a ne pas t’embrasser ou a te prendre dans mes bras, parce que juste les 10 minutes ou on a été séparé j’avait qu’une envie, être avec toi donc…»

Ce qu’il avait dit était vrai, il avait certes pensé a ses parents, mais il avait surtout pensé avec elle, et au fait de l’avoir dans ses bras et de lui faire plein de geste affectueux. Il l’entendit ensuite pousser un petit soupir et se rapprocher de lui et il sentit son odeur de biscuit, il sourie et l’embrassa dans le cou, puis il la regarda et lui demanda :

« Tu sais que tu sens très bon mademoiselle ? »

Il ne cessa pas de la regarder et de se plonger dans son regard, puis il ajouta autre chose au bout de quelque seconde :

« Ton odeur de biscuits, sa me donne envie de te manger tout cru ! »

Il rigola légèrement, puis garda son sourire et la serra un peu plus dans ses bras, il regarda un moment la porte, et espérait que personne n’entrerait pour qu’on ne les dérange pas. Joshua était tellement bien en sa compagnie qu’il voulait que le temps s’arrête rien que pour rester avec elle le plus de temps possible. Ensuite il l’a vit se rapprocher pour l’embrasser mais elle s’était arrêter et frôler ses lèvre, alors il décida d’approcher ses lèvre un peu plus des sienne, fit un clin d’œil et attendit pour voir si elle allait l’embrasser ou si elle continuait a jouer.

Au niveau organisation, je faisais plus ou moins fort. J’étais ce qu’on pouvait qualifier d’étrange. Je pouvais être très ordonnée sur mon bureau, dans une case mais dans ma chambre, les vêtements pouvaient rôder sur le sol cherchant leur âme… Présentement, ça allais bien. Je prenais le temps de faire le ménage, les cours n’étant pas trop exigeant, j’en profitais. Je m’organisais et vu le nombre de cours que je manquais et les e-mail fracassants de mon père qui me demandait de rentrer pour Noël, il semblait avoir une surprise pour moi. Je devrais l’appeler. Mais malgré moi, j’avais peur qu’il se trouve une autre femme, qu’il remplace maman trop rapidement… À mes yeux, elle était toujours là. Et bien souvent, j’avais envisagé d’aller voir Lisa Williams, la fille qui parlait avec les esprits, il y avait des choses que je voulais savoir, si elle veillait sur moi, si elle était heureuse, si elle ne souffrait pas… Elle m’inquiétait continuellement. Mon père avait très envie d’aller la voir, lui aussi mais moi, je ne sais pas si revoir tout me ferais vraiment du bien. Je n’avais pas fait mon deuil à quelque part. Ma mère était comme ma meilleure amie, notre relation était fusionelle et elle me comprenait toujours plus que quiconque… J’avais cette impression.

Si j’étais vêtue d’un simple pyjama, j’étais un peu plus mal à l’aise auprès de Josh… il avait prit la peine de s’habiller. Bien entendu, je ne m’attendais pas non plus à le voir arriver en boxer ou en bas de pyjama avec des canards, ça m’aurait plus déstabilisée qu’autres choses. Je regardais Josh avec un regard tendre me sentant soudainement moins bien dans mon pyjama que prévu… J’avais hésité à mettre une petite robe rouge que j’avais acheté il y a peu… Un jean et un t-shirt blanc pour finalement revenir à la case de départ. Il était tellement beau dans son jean et son chandail blanc, je lui aurait tellement retirer le tout rapidement… Il me faisait beaucoup d’effet depuis un bon moment d’ailleurs. Combien de fois m’étais-je réveillée parce que Kenzie riait à mes côtés et que Mélinda me pinçait le nez en disant que même si j’étais avec Orlando, je prononçais le nom de Josh… Ça me rendait toute rouge et ça me rendait timide… Je leur faisait promettre de ne rien dire à Orlando et elles se forçaient vraiment parce qu’elles voulaient voir Orlando me quitter, heureusement et malheureusement… Elles n’aimaient pas ce jeune homme qui était plus que délicieux à mes yeux. Suite à ses paroles qui fut : « Moi aussi, je suis content de te voir! Et tu m’as rendu triste comme t’es partie, en frôlant mes lèvres sans m’embrasser ! » Un sourire se transforma en rire sur mon doux visage. Je posais mes lèvres sur les siennes avant de sourire et de l’embrasser dans le cou. Nous étions tous les deux face à face et mes yeux parcouraient son visage et son corps, sa beauté m’épatait à chaque fois et je me sentais flotter sur mon petit nuage… Loin du centre, loin de tout. Il me dit : « C’est sûr que ça va être difficile à cacher… » J’acquiesçais à cette parole puis il poursuivit, optimiste : « mais je pense qu’on va réussir à cacher qu’on est ensemble. » Oui, j’approuvais… Mais étrangement, le désir était plus intense lorsque c’était interdit et secret. « Mais si on se fait prendre, tant pis, du moment qu’on est ensemble, je m’en fiche un peu. L’important c’est que tu es avec moi! » Ohh. C’était si… adorable. Ça me donnait juste le goût de me rapprocher mais nos deux corps étaient déjà à leur plus proche… Je frottais mon nez contre le sien, un baiser esquimau disait-on… « C’est pareil pour moi, j’ose pas imaginer comment ça va être quand on sera séparés et quand on devra faire semblant de ne pas être ensemble. Ça va être dur de résister à ne pas t’embrasser ou à te prendre dans mes bras, parce que juste les 10 minutes où on a été séparé j’avais qu’une envie, être avec toi, donc… » Un sourire se forma sur mon visage et je fermais mes yeux tout doucement. J’avais pensé à un code… J’en avais eut un avec ma mère quelques années plus tôt; « J’ai mal à la gorge » signifiait bien souvent que quelqu’un que nous n’aimions pas était dans les parages… Bien entendu, il pouvait y en avoir d’autres… Plus créatif, certes. Mais c’était celui que nous avions besoin.

Puis, il me regardait et il m’embrassa dans le cou, un sourire se mit en place sur mon visage… « Tu sais que tu sens très bon mademoiselle? » ça me fit sourire encore plus, je me sentais si légère. Lorsqu’il ajouta qu’il avait envie de me manger tout cru, j’eus un petit sourire et je m’approchais de son oreille pour y chuchoter doucement; « Alors, dévore-moi! » Une phrase remplie de sous-entendus mais voyons voir comment il y réagirait… Il n’était pas encore immunisé contre mon charme. Une petite grimace se forma sur mon visage et un petit rire cristallin sortit de ma bouche. Je caressais sa joue puis, à son clin d’œil, mes joues devenaient instantanément toutes rouges… Tout ceux qui me connaissaient bien savaient qu’un chuchotement à l’oreille, un clin d’œil ou un sujet plus ou moins bien abordé me faisait rougir. Je reculais tout doucement pour me mettre dos à lui et faire mine de le bouder en fermant les yeux doucement, je commençais à être un peu fatiguée. Peut-être qu’un peu plus tard, je lui parlerais des fameux codes…

Je me retournais doucement vers lui, nous étions désormais, de nouveau, en fait. Face à face puis, prise d’un désir soudain, je l’embrassais un peu sauvagement mais c’était un baiser passionné par la même occasion. Je le regardais avec un sourire en coin…

- Je ne peux pas me séparer de toi ,même pour 30 secondes.

Josh ne se souciait pas du fait qu’elle était habiller d’un bas de pyjama alors que lui il était assez bien habiller, mais c’était juste parce qu’il s’était changer et comme il était habiller avant il n’était pas a l’aise dedans. Donc il avait mit quelque chose ou il sentait plus à l’aise. Même en pyjama et avec un T-shirt trop grand il avait envie de les lui enlever, depuis un certains temps certes, mais aujourd’hui en particulier parce que maintenant qu’ils étaient ensemble, elle avait l’air plus belle que jamais et elle lui fessait aussi plus d’effet que jamais.

Après lui avoir dit que le plus important c’était qu’ils soient ensemble il la vit se rapprocher et frotter son nez contre le sien, il lui sourie en la regardant de bas en haut et après qu’il ait dit que ça allait être dur a résister de ne pas la prendre dans les bras ou de l’embrasser quand ils devront faire semblant de ne pas être ensemble et que pendant les 10 minute dont ils avaient été séparé, et qu’il n’avait pensé qu’a être a ses coté, il la vit fermer les yeux et sourire, alors il la garda dans ses bras et l’embrassa sur le front, il ne savait vraiment pas comment il allait résister au fait d’être séparé, c’était incroyable, mais rien que durant les 10 minutes ou ils avaient été séparé, il n’avait fait que de penser a elle et elle lui manquait terriblement, pourtant ce n’était que 10 petites minutes qui passent généralement vite, ou du moins attendre 10 minutes ce n’est pas très long généralement, mais pour Joshua ça avait été les 10 plus longues minutes qu’il avait du attendre.

Ensuite il l’avait embrassé dans le cou en sentant comme elle sentait bon, une odeur de biscuit pour être précis, une odeur qui l’avait toujours fait fondre, petit quand sa mère en préparait il se jetait littéralement sur les biscuits et en mangeait beaucoup et a chaque fois il passait a la limite de la crise de fois et la avec Anna il luit avait dit en plaisantant un peu qu’il avait envie de la dévorer tout cru, au bout de quelque seconde il l’a vit s’approchait de lui et lui chuchoter a l’oreille « Alors, dévore moi ! » Après avoir entendu cette phrase il l’a regarda avec un regard qui correspondait au moment, et il prit son bras et commença a y déposer des bisous dessus, puis il fit la même chose avec l’autre bras, puis il remonta un peu son T-shirt et l’embrassa sur le ventre, puis il l’embrassa sur son épaule et remonta doucement jusqu’au cou puis il déposa un long baiser langoureux sur ces lèvres. Après tout sa il la regarda tout simplement.

Puis il l’a vit se retourner et faire mine de bouder après qu’il lui avait fait un clin d’œil, en voyant sa, Josh ne put s’empêcher de rire un peu, et au bout de quelque seconde il la vit se retourner et l’embrasser un peu sauvagement, mais quand même passionné, ce baiser lui avait fait l’effet d’un feu d’artifice, c’est comme si con cœur avait soudainement décider de danser la salsa, ou qu’il avait exploser comme des feu d’artifice, et il ressentait toujours cette immense chaleur indescriptible mais pourtant très agréable a chaque fois qu’elle l’embrassait, après ce baiser il avait lâcher sans le faire exprès un petit « Wow ! », puis il mit sa main sur sa joue et l’embrassa langoureusement, mais bizarrement passionnément également, avec se baiser il voulait tout simplement faire passer tout les sentiments qu’ils ressentait pour elle, et combien elle comptait pour lui.

Il l’a vit avoir un sourire au coin, et lui dire qu’elle ne pouvait pas être séparé de lui, même pour 30 secondes, il se mit a caresser sa joue avec une de ses mains, et il lui dit :

« Alors je vais devoir te suivre ou que tu aille comme ton ombre, pour pas qu’on soit séparer parce que je ressens exactement la même chose, si on est séparé plus de 30 secondes, sa sera les 30 secondes les plus longues de ma vie ou je ne ferais que penser a toi, mais je pense que tu le sais déjà ! »

Être capable de passer tout mon temps en pyjama, je le ferais volontiers. Je ne suis pas quelqu’un de particulièrement pudique mais quand même… Pouvoir aller en cours en pyjama, je le ferais volontiers. D’ailleurs, je l’avais déjà fait l’année dernière. Suite à un stupide pari, je m’étais retrouvée en pyjama en plein cours d’espagnol… Pyjama vert avec des fleurs et soutien-gorge assortit. La tête de Kenzie et Mélinda avait tellement été marrante. Et tous nos amis de sexe masculins ne me regardaient plus de la même façon, Orlando, lui, s’était contenté de m’engueuler et de me faire une crise de jalousie.

En tant que femme, on m’avait souvent dit que le pouvoir qu’on pouvait exercer sur les hommes pouvaient être destructeurs. Mon père m’avait dit que je ressemblais beaucoup à ma mère, que j’étais le genre de fille qui entrait dans les bars et celle qui faisait qu’on la regardait… Celle qui était le genre à avoir les gars dans sa main en entrant. Moi, je ne craquais pas. Lorsque j’allais dans les bars, je ne buvais pas… J’y allais que pour danser et me défouler. Contrairement à pas mal de gens que je connais, je n’avais jamais eut de relations sexuelles, je n’avais jamais bu à en perdre l’âme, j’étais ce qu’on pouvait dire : une petite fille sage. Mais attention, je ne suis pas une Sainte, non plus! Les gens me sous-estimaient beaucoup trop vite. J’avais déjà fait un strip-tease en pleine cafétéria et je m’étais arrêtée aux sous-vêtements parce qu’on m’avait engueulé et j’ai eut droit à 3 semaines de retenues mais ça m’avait bien fait rire. Je le regardais puis je riais doucement. Il me manquerait, je savais que les messages textes allaient être enflammés et rempli de « Je t’aime. » , « tu me manques » ou encore, le plus radical de tous : « J’ai envie de toi. » Le dernier allait être difficile à contrôler, je le savais.

Je remarquais de plus en plus que lorsqu’on attend, les 10 minutes qu’on avait semblaient être terriblement longues. Si on avait des tas de choses à faire, ça serait plutôt le contraire et nous étions : « déjà ? » et lorsque quelqu’un nous manque, c’est encore pire que les 10 minutes qu’on trouvait longues. Je le regardais, les yeux scintillants, je tenais à lui plus que j’avais jamais tenu à Orlando. Les cookies? Chez moi; c’était moi qui les préparait et à chaque fois que mon père me voyait revenir dans son garage avec le plateau de cookies, il me disait que ma mère n’était qu’une piètre cuisinière comparée à moi… Bien souvent, je n’étais alors qu’âgée de 10 ans et je savais me servir du four. Ma mère me mettait à la cuisine les soirs de Noël, c’était tellement bon. Et ma mère me disait qu’il n’y avait aucune raison de faire venir un traiteur… Maintenant, je retenais de la culture américaine pour les traditions de Noël. Lorsqu’il m’avait regardé avec un regard affamé, je riais doucement puis il déposa des baisers sur mes bras. Lorsqu’il remonta un peu mon t-shirt en embrassant mon ventre, un grand sourire se glissa sur mes lèvres, effectivement, il avait faim et il semblait me désirer. Il remonta jusqu’à mon cou et m’embrassa sur les lèvres, je mis mes jambes par dessus les siennes et je l’embrassais dans le cou après avoir lâché le baiser sur mes lèvres. Le temps passait amèrement vite lorsque j’étais en sa présence.

Après un long baiser passionné, il échappa un petit « Wow! » ce qui m’avait fait rire doucement. Ce n’était pas si impressionnant ou du moins, je ne me considérais pas comme tel. À la suite, un baiser étrange, empli de passion, de désir et de tout à la fois, ça me surprenait à quel point il m’appréciait depuis si longtemps… Et dire que j’aurais pu être heureuse, plus heureuse qu’avec Orlando. Puis, il me disait qu’il me suivrait comme mon ombre, ça me faisait sourire… Je l’aimais tant. Je m’approchais de lui, à nouveau en l’embrassant, mes mains passaient sous son t-shirt et caressait son torse musclé, sans aucune pudeur. Un sentiment me tenait mais c’était indescriptible. Un amour, une passion, un désir certain…

- J’ai jamais ressenti ça pour personne…

Des paries ? Josh en avait fait un tas, il adorait les relever quand il avait perdu ou quand c’était les autres il adorait également les voir faire ce qu’il devait faire quand ils avaient perdu. Le truc le plus stupide qu’il avait du faire parce qu’il avait perdu un parie était de devoir rendre des vêtements dans un magasin, de la lingerie féminine (un chemisier et un soutient gorge) en les portants, c’était très marrant en voyant la tête des clients ou des vendeuses quand il devait rendre les vêtements, d’ailleurs il lui restait des photos de cette soirée, mais il les garde cacher pour que personne ne les voient.

En effet le temps passait très lentement lorsqu’on s’ennuyait ou quand une personne nous manque comme c’était le cas avant avec Joshua quand il devait attendre 10 minutes avant de venir ici. Mais il passe également extrêmement vite quand on s’amuse ou quand on est en présence d’une personne qu’on aime et dont on ne veut pas être séparés. Son père lui avait toujours dit que le temps était de l’argent quand ils étaient presser de partir quelque part, petit il n’avait jamais comprit le sens de cette phrase, mais depuis quelques années déjà c’était le cas et depuis quand il entendait quelqu’un dire cette phrase, ça le fessait sourire et ça lui fessait repenser à son père avec qui il était très proches.

Avant avec son père, le jeune Brown fessait plein d’activités avec lui, c’était lui qui l’avait emmené pour la première fois a la pêche, qui lui avait fait découvrir le Snow et qui lui avait apprit a faire du vélo sans les roulettes. Par contre il avait eu aussi des conversations gênante avec lui du genre qu’est ce que le sexe, ou bien sur les filles, enfin bref… les thèmes classique que les parents racontent a leurs enfants quand ils sentent qu’ils sont assez grands, mais que les enfants savent déjà et trouvent sa extrêmement gênant de parler de sa avec leurs parents. Maintenant qu’il y repensait sa le fessait rire, et de se dire que pet être un jour sa serait a son tour de raconter tout sa, sa lui fessait la chaire de poule, mais en même temps il était curieux de ce qu’il dirait et comment il agirait.

Enfin bon, Joshua était dans la chambre d’Anna allongé a ses coté et la regardait dans les yeux, il se disait qu’il était quelqu’un de très chanceux pour être avec elle, et dire qu’il aurait put être avec depuis si longtemps, et maintenant ils devaient se cacher et être discret pour qu’on ne sache pas qu’ils soient ensemble, étant donné qu’Anna sortait déjà avec quelqu’un qui était un vrai sal…. Aux yeux de Josh, mais c’était quand même quelqu’un

Après un agréable baiser passionné, et que Josh avait lâché un petit « wow » il l’a vit rire doucement, il prit sa main et fit un bisou dessus puis la caressa doucement tout en la regardant tranquillement, elle était si belle et il était si bien a ses coté qu’il pouvait passer une éternité allonger a ses coté, il jamais ressentit sa pour quelqu’un. Il ressentait quelque chose de fort mais pourtant si agréable, et de réconfortant.

Il la sentit ensuite l’embrasser à nouveau et sentit ses mains passaient sous son t-shirt et caresser son torse, sa lui donner des frissons. Il prolongea son baiser et posa ses main sur ses reins et sous son t-shirt, heureusement il n’avait pas les mains froides au contraires elles étaient assez tièdes. Il l’entendit ensuite dire qu’elle n’avait jamais ressentit ça pour personnes, il fit un grand sourire, il était dans le même cas il n’avait jamais ressentit ça pour personne sauf pour Anna, il la regarda et prit son temps avant de lui dire en lui caressent la joue d’une main et en gardant l’autre posé sur ses reins entrain de la caresser doucement :

« Moi non…c’est très agréable, mais sa me fait un peu peur, je sais pas pourquoi, mais ce qui est sur c’est que je tiens vraiment a toi et que j’ai vraiment des sentiments fort pour toi, c’est juste que comme j’ai jamais ressentit sa pour personne sa me fait peur ! »

Les paris… Dieu que j’adorais ça, soit je les lançais soit je les réalisais et tous étaient plus ridicule les uns que les autres. Et un particulièrement méchant. Kenzie m’avait dit d’allumer un homme, de l’entraîner dans les toilettes et ensuite de lui dire que j’étais une Sainte et que je préférais ça après le mariage. Mon Dieu! J’avais tellement ris. Il n’était pas rare de nous voir avec des gages ridicules… Celui que Mélinda avait donné à Kenzie la semaine dernière j’en étais morte de rire… Il y en avait tellement, Kenzie devait enfreindre la limite permise et draguer le beau policier afin d’éviter une contravention. Nous avions tellement rit cette soirée là… D’ailleurs, il me passait par l’esprit que nous devions en refaire une d’ici peu… Les défis me manquaient drôlement, d’ailleurs, il faudrait pas mal tout le monde, les choses s’avéraient très marrante. Ou encore le jeu fuck you. Avec un jeu de cartes, on pigeait une carte et cette carte pouvait vous faire boire … Moi, ce que je faisais; je remplaçais ma vodka jus d’orange par un jus d’orange avec de l’eau. Parfait. Comme ça, je me souvenais de tout le lendemain et je riais bien. Nous devrions le refaire… Mais cette fois; je devrais assumer le fait de boire de l’alcool. Il y avait ce fameux pari, faire un strip-tease à un professeur, réalisé avec brio!

Les thèmes classique au niveau de la sexualité, moi j’avais dut vivre ça avec mon père… Imaginez, c’est terrible… Tu deviens une femme, ta mère est absente et tu dois le dire à ton père. Mon Dieu! Mais mon père me faisait bien rire, il achetait toujours la mauvaise sorte de tampons… Autant mourir. Mais, il y retournait patiemment et il pouvait bien passer 50$ en tampons pour satisfaire moi ou ma mère. Mais, encore… Il y avait la discussion pour la première relation sexuelle. Mon Dieu. J’aurais préférée avoir cette discussion avec ma mère… Poser des questions relativement saugrenues qu’on se pose entre copines… Maman me manquait sous bien des aspects, mais j’avais toujours mon père… Il n’était pas rare que mon père et moi s’asseyons dans le salon pour commencer à faire un concours de rots. Lui avec ses bières et moi avec mes sodas. Et je suis plus ou moins fière de vous révélez que je les gagnais la plupart du temps… Puis, j’y repensais… Un jour, moi aussi je deviendrais mère. À mon tour, je ferais mes coups forts et mes coups faibles. Aborder la question de la sexualité avec ta progéniture… Ça m’effrayait de voir le temps passer ainsi. En décembre, j’atteindrais finalement mes 20 ans. J’avais très peur… Il y aurait désormais 8 ans que maman allait nous avoir quitté pour un autre monde.

Croyez vous aux esprits? Moi j’y crois. Beaucoup, d’ailleurs… Je croyais que ma mère avait fait le voyage avec moi en avion jusqu’en Amérique. Qu’elle m’observait tous les jours et bien souvent, j’avais l’impression d’entendre sa voix dans ma tête. Ça m’effrayait en même temps mais au fond, c’était ma mère. Pourquoi me voudrait-elle du mal? Je regardais Josh puis je lui dis doucement…

- Tu sais, il vaudrait peut-être mieux attendre un peu après la rupture avant de se montrer ensemble… Sinon, ça pourrait avoir l’air suspect…

Même si Orlando avait un bon sens de la détection du mensonge, il fallait savoir qu’il était également très paranoïaque. Il me regardait dans les yeux et je me sentais proche de lui, plus proche que jamais. Je savais que Josh trouvait que ce cher Orlando ne valait pas mieux qu’un maringouin, voir même pire mais, je l’aimais… Je les aimais. Tous les deux. Ça m’effrayait même, à un certain point. Et aux yeux de Mélinda, de Kenzie, de John… De bien des gens.

Je sentais ses frissons et ça me faisait sourire, pourtant mes mains n’étaient pas si froides. Je l’embrassais doucement. Puis, il passa ses mains sur mes reins sous mon t-shirt ce qui me rappelait du petit défaut de fabrication de mon cher papa. Mon cœur était à droite… J’étais une inversus ce qui traumatisait bien des gens mais moi, ça me faisait rire. Orlando avait tenté de sentir mes battements en mettant sa main du côté gauche, il m’avait dévisagé longuement avant que je lui révèle des explications. « Je suis inversus. » avais-je dis en roulant les yeux. Mais c’était à l’église le problème. J’avais dis à Sœur Angèle que mon cœur était à droite. Elle ne m’avait pas cru, j’étais très vexée et elle m’a adressé des excuses le lendemain après une discussion agitée avec mon père.

« Moi non… » Tant mieux. Il m’expliquait bien des choses et je m’approchais de lui pour lui murmurer en prenant sa main contre la mienne.

- Ayons peur ensemble. Tu crois qu’on va me prendre pour une garce lorsqu’on le saura? Mais, je t’aime.

Les trois mots étaient dit et mon cœur battait à 100 à l’heure, j’avais peur qu’il me laisse ainsi. Je fermais les yeux en montant la couverture sur nous deux et je me rapprochais de lui en l’embrassant dans le cou, j’avais soudainement très froid. Puis, il mit son bras autour de ma taille… C’est avec un petit sourire sur le visage que je fermais les yeux, tout doucement… J’attendais sa réponse et une petite sieste s’en suivrait mais avant, je lançais à la blague...

- Tu crois que quelqu'un se doute qu'on est ensemble à l'heure actuelle?

L’alcool ? Il en buvait de temps en temps ; quand il sortait en boite ou quand il fessait la fête, mais toujours avec modération, la seul fois ou il était ivre c’était a une fête, il n’avait bu qu’un verre, mais c’était de vodka, et lui et l’alcool fort ce n’est pas une grande histoire d’amour, le première verre de vodka qu’il avait bu, enfin plutôt deux il était ivre, faut aussi dire qu’il les avait bu cul sec donc sa n’arrangeait pas vraiment les choses. Mais bon en rentrant chez lui ce soir la, il était rentré contre un poteau qu’il avait confondu avec une dame, avec sa porte d’entré qu’il avait cru qu’elle était ouverte mais non et une fois arrivé il s’était fait engueuler par ses parents et avait été privé de sortit pendant un mois entiers et était également priver de Snow, ce qui était la pire punition pour lui. Mais bon il y avait survécu, la preuve il était avec Anna dans sa chambre et lui avait déclaré sa flamme qui se trouvait réciproque à son plus grand bonheur.

Joshua ne croyait pas tellement aux esprits, il était assez terre à terre, il croyait assez souvent ce qu’il voyait par ses propres yeux, mais peut être qu’il se trompait, du moins comme il n’avait perdu aucune être proches, il ne savait pas ce que les autres dans ce cas ressentait, mais il ne niait pas le fait que les gens pouvait sentir présence de leurs être chères après tout il se trompait peut être.

Il regardait Anna droit dans les yeux avec son doux sourire qui ne s’était pas effacer depuis un moment déjà, il l’entendit ensuite lui dire qu’il vaudrait mieux attendre un peu avant de se montrer ensemble, parce que sinon cela pouvait éveiller les soupçons. Josh était tout a fait d’accord avec elle, si ils se montraient ensemble tout de suite après qu’elle ai plaqué Orlando, cela pouvait semer le doute et que quelques personnes découvres qu’ils étaient déjà ensemble pendant qu’Anna était encore en couple. Il acquiesça d’un signe de tête.

Le fait qu’elle ai des sentiments pour lui et Orlando lui fessait peur, maintenant il avait peur que finalement elle retourne dans les bras d’O. même si elle était avec lui et qu’elle avait décider de le plaquer. Le jeune Brown avait confiance en elle mais la peur était quand même la.

Il se souvint des deux pires jours de sa vie, quand il était ensevelie sous une avalanche, il se souvenait du fait qu’il était tranquillement entrain de glisser sur la neige, puis d’un coup il avait entendu bruit bizarre, il s’était retourné et avait vu une grosse avalanche dévalait la pente. Il avait donc tenter d’accélérer mais ça n’avait servie a rien il s’était retrouver sous la neige a greloter pendant deux long jours a pensé a tout ses proches et sa famille, puis plus rien le trou noir complet, il se doutait que son instinct de survie avais prit le dessus et que quelques heures plus tard il était allonger sur la neige, inconscient jusqu'à ce que son frère le trouve et qu’on l’emmène a l’hôpital ou il fut réchauffer et soigner, mais il avait quand même du rester la bas quelques jours en observation, il s’était beaucoup ennuyer la bas a rester allonger pendant des jours devant la télé ou entrain de lire, sans pouvoir bouger. Mais bon il s’en était parfaitement remis, la preuve il est avec Anna en ce moment et il était sortit de l’avalanche plus fort mentalement et physiquement.

Josh la vit ensuite sourire après qu’elle ait mit ses main sur son torse a le caresser doucement, ce fut surement parce qu’elle avait sentit ses frisson, et ensuite elle l’embrassa doucement, pendant se baiser il avait toujours ses mains poser sur ses rein et commença a caresser tendrement son dos tout en profitant du baiser.

Puis il la vit prendre sa main pour la mettre contre la sienne et l’entendit dire si il pensait que les autres allaient la prendre pour une garce quand ils sauront le fait qu’ils sont ensemble, mais qu’elle l’aimait. Pendant quelque seconde Josh ne pensait a rien et écoutait en boucle les trois derniers mots qu’elle avait dit, pour lui, ils étaient magique et le fait de les entendre et surtout le fait qu’on le lui dise a lui, ça le fessait sourire au plus au point et il ressentait un vrai feu de camps a l’intérieur de lui et son cœur avait bondit dans tout les sens. Avant qu’il ait eu le temps de lui répondre il la vit fermer les yeux et remonter la couverture sur eux deux, surement parce qu’elle avait froid, alors il la prit dans ses bras et la serra pour la réchauffer, il sentit son bisou dans le cou. Et bizarrement il avait sommeil, surement le fait de ressentir autant d’émotion en une journée donnait envie de dormir, mais avant qu’ils fassent une sieste il lui répondit d’une voix très douce :

« Je pense pas qu’on va te prendre pour une garce, du moins pour ceux qui n’aiment pas O., sinon pour le reste je ne sais pas, mais si quelqu’un te traite de garce ou t’insulte, il aura affaire a moi, parce que… »

Son cœur battait très vite parce qu’il savait ce qu’il allait dire pour continuer sa phrase, mais il avait peur de dire ces trois petits mots, parce qu’il avait peur que leur relation n’aille trop vite, mais comme c’était la vérité il décida de lui susurrer a l’oreille :

«…parce que moi aussi je t’aime Anna Soderberg ! »

Ca y est il l’avait dit et il n’avait plus peur de les dire, il pouvait le dire en boucle et même il pouvait le hurler du toit du centre si il le fallait. Il l’embrassa langoureusement et peu après il l’écouta demander si il pensait que quelqu’un se doutait qu’ils étaient ensemble, il la regarda un moment en fessant mine de réfléchir, et finalement après avoir fait le clown il lui répondit sérieusement :

« A moins que tu l’ais dit a quelqu’un, ou moi, je ne pense pas que quelqu’un se doute de quelque chose, en tout cas moi je n’ai rien dit. »

Le jeune homme qui la tenait encore dans ses bras l’embrassa sur le front pour la rassurer si elle doutait du fait que quelqu’un doutait peut être sur le fait qu’il soit ensemble. Il ferma ensuite les yeux, mais ne dormait pas, il lui dit ensuite, parce qu’il venait d’y penser:

« Je ne sais pas si tu va être d’accord, mais vu qu’on est ensemble et qu’on s’aime l’un à l’autre je pense qu’on devrait tout se dire non et ne rien cachait a l’autre, mais ce n’est pas une obligation tant qu’on ment pas ok ? Si je dis sa c’est juste parce que je trouve que l’honnêteté c’est une des choses les plus importante pour qu’une relation fonctionne. »

Il la regarda un moment dans les yeux, si il lui avait dit sa, c’était parce qu’il avait un secret qu’il cachait et qu’il voulait cachait, mais une partit de lui voulait lui dire donc il ne savait pas trop quoi faire. Est-ce qu’il devait lui dire, ou le cacher

Je me souvenais, de cette série télévisée. House M.D. que j’écoutais de façon assidue. À tous les lundi soirs, à 21heures précise, ne me cherchez pas : je suis devant le téléviseur. J’écoute House. La série télévisée mettait en vedette Greg House, que je trouvais fort séduisant malgré son obsession avec la drogue. Il me passionnait, normalement, on s’attend d’un médecin à ce qu’il soit gentil, doux, positif, sociable, même. House, c’est tout le contraire. C’est un docteur très cynique, arrogant, il est insupportable. Mais pourtant, il a su me charmer. Moi, je l’écoutais… Mais j’aimais surtout le personnage de Cameron, Allison de son prénom. J’aimais beaucoup ce personnage et je m’y suis attachée. C’est un docteur honnête et sincère. Contrairement à House, elle va le prendre à cœur si elle doit annoncer une mauvaise nouvelle à un patient. Mon père avait écouté la série une seule et unique fois et il avait dit que cette fille aux cheveux bruns (à l’époque) était relativement similaire à moi. Au début, je ne le croyais pas mais suite à des vérifications, je trouve peut-être un peu que oui… Par contre, ses goûts en amour me répugnaient un peu lorsqu’elle était attachée à House d’un peu trop près à mon avis, mais lorsqu’elle était en couple avec Chase, tout devenait magique.

Je ne voulais pas être une garce. C’était important à préciser. Je trompais déjà mon petit copain avec quelqu’un à qui je tenais beaucoup, peut-être trop même. Malgré tout, les bons moments avec Orlando tournaient en boucle dans ma tête alors que je faisais les yeux doux à Josh. Je le regardais avec un regard tendre lorsqu’il acquiesça d’un signe de tête, j’y pensais. Est-ce que je prenais vraiment la bonne direction? J’avais beau croire au destin, que rien N’arrive pour rien, pour l’instant, je ne savais pas où il comptait m’amener. Je craignais également que Joshua ne me plaque que pour se moquer de moi à la suite, j’en suis très mal à l’aise… Et s’il me jouait un tour. J’avais conscience que j’étais paranoïaque, littéralement. Mais ça m’inquiétais. Je savais que Josh n’était pas ce genre de personne mais nous allions devenir des agents secrets, donc à quelque part, je me disais que j’avais raison de m’inquiéter… Mais encore une fois, je devais me faire confiance et ne pas craindre la suite.

Après avoir remonté la couverture sagement, il avait passé ses bras autour de moi pour me serrer contre lui. Sa chaleur corporelle m’en donnait des frissons. Ma mère m’avait toujours dis que l’amour c’est lorsque tu aimes quelqu’un c’est avec le cœur, pas avec la tête. Complexe, j’avais mis beaucoup de temps avant de comprendre. Je croyais que c’était Orlando mon amour, le vrai. Celui qui vous en fait tourner les têtes… Mais maintenant, étais-je normale de me voir avec un autre homme, dans le futur? Je me voyais comme aujourd’hui dans les bras de ce cher Josh. Je fermais mes lourdes paupières quelques instants… Je me voyais avec lui dans 10 ans.

Il m’expliquait sagement qu’il ne pensait pas qu’on me prendrait pour une garce. « Il aura affaire à moi, parce que… » Je frissonnais, j’attendais un quelque chose du genre : je tiens à toi… Les hommes étaient effrayés lorsqu’on leur disait qu’on les aimait… Mais pas Josh. Lorsque j’avais dis ces trois mots à Orlando, il était partit peu après. Je me sentais mal à l’aise. J’étais tellement près de lui que je sentais ses battements s’accélérer, ce qui m’inquiétait un peu. Il me chuchota doucement à l’oreille : « parce que moi aussi je t’aime Anna Soderberg! » Mon Dieu. Je frissonnais de tous mes membres. Je me penchais près de lui pour l’embrasser passionnément. Après, ma question venait puis il fit mine de réfléchir. Je lui donnais une petite tape toute douce sur le bras. Il ne pensait pas que quelqu’un s’en doute. C’était vrai qu’à la base, nous étions des meilleurs amis. C’était mon meilleur ami, avec Mélinda et Kenzie, bien entendu. Il commença son monologue. « Je ne sais pas si tu va être d’accord, mais vu qu’on est ensemble et qu’on s’aime l’un à l’autre je pense qu’on devrait tout se dire non et ne rien cacher à l’autre, mais ce n’est pas une obligation tant qu’on ment pas, ok ? Si je dis sa c’est juste parce que je trouve que l’honnêteté c’est une des choses les plus importante pour qu’une relation fonctionne. » Je le regardais dans les yeux puis je hochais la tête d’un signe positif lui déclarant solennellement.

- La confiance est sur quoi repose un couple… C’est important. Et si on commençait par une petite confidence? Hum… Tu commences ?

Quand Joshua fessait des monologue sa voulait dire qu’il était nerveux, et donc il parlait beaucoup. Si maintenant il était nerveux c’était parce qu’il aimait Anna et qu’il craignait qu’au retour d’Orlando elle le laissait tomber, même si il espérait de ton son cœur que ça n’allait pas être le cas une petit part de lui ne pouvait s’empêcher de douter, après tout ils étaient entrain d’être formé pour devenir agents secrets alors peut être qu’elle se servait de lui comme passe temps en attendant le retour d’Orlando, mais bon il la connaissait depuis longtemps et ce n’était pas du tout son genre de faire sa c’est pour sa qu’une petite part de lui doutait.

La fameuse série Dr House, sa lui rappelait que de bon souvenir, avec le fameux Greg House qui fait ce qu’il veut avec les patients et qui s’en fiche complètement du règlement tant qu’il sauve son patient qui a toujours des symptômes bizarre, il est toujours dans sa carapace et sur la défensives a chaque remarques, il sait tout de suite ce qu’il doit répliquer et le fait dans l’instant. C’est ce qui plait a Joshua dans cette série et parfois sa le fait vraiment rire. Mais Josh n’a pas vraiment de série préféré, il aime bien toute les série du moment qu’elles ne tournent pas en rond ou que ce n’est pas trop a l’eau de rose ou tout est parfait et beau, ou celle on l’on sait tout d’avances.

L’amour dans une relation ne suffit pas, d’accord c’est un point important, mais il faut aussi savoir rendre l’autre heureux, parce que si on rend la personne avec qui l’ont est malheureuse. D’ailleurs sa lui était arrivé il y a 4 ans, il sortait avec une fille qu’il aimait sincèrement seulement au bout de quelque mois ensemble ils avaient commencé a se disputer pour a rien, a rompre puis a se remettre ensemble pour de nouveau rompre et cela au moins 5 fois de suite. A la fin, il ne savait plus que fois, il en avait marre de rompre et de se remettre avec elle, alors son père lui avait donné se fameux conseil que j’ai déjà dit en haut, que dans une relation ça ne suffisait pas d’aimer sincèrement mais il fallait aussi rendre l’autre heureux et savoir la réconforter dans les coups dur et de la rassurer quand elle a peur ou qu’elle n’est pas bien. Alors après ce conseille il avait décidé de rompre pour de bon cette fois, et il avait mit du temps a s’en remettre, mais maintenant qu’il y pense son père avait raison et la décision qu’il avait prise était la meilleur et la bonne à choisir.

Le jeune Brown ne cherchait jamais a ce voir avec la personne qu’il aime dans le futur, mais avec Anna c’était différent il l’aimait vraiment et n’avait jamais ressentit ce qu’il ressentait a ce moment précis pour personne d’autres. Il n’avait aucun mal a ce voir avec elle plus tard ou quoi que ce soit, mais bon il arrivait a les voir dans le futur, mais peut être que sa vision des choses ne serra pas ainsi, peut être qu’ils ne seront plus ensemble dans 15 ans, seul Dieu le sait.

Il la sentit frissonner après qu’il avait passé son bras d’elle et après s’être serré contre elle pour qu’elle n’ait pas froid et ça le fessait sourire à vrai dire il avait se sourire depuis un moment déjà, depuis qu’il l’avait entendu dire trois mots magique qui lui avait fait sentir une infime chaleur très agréable à l’intérieur de lui. Après lui avoir chuchoté a l’oreille que lui aussi l’aimait, il l’avait ensuite embrassé langoureusement et la garder sans ses bras. Peut après il sentit ses lèvres se déposer sur les siennes pour l’embrasser langoureusement et il ne put s’empêcher de prolonger ce baiser le plus longtemps possible pour le rendre « magique ».

Si il pensait que personne ne se doutait du fait qu’ils étaient ensemble c’était parce que personne ne les avaient vu s’embrasser ou quoi que se soit, et parce qu’ils n’avaient rien dit a personnes. De plus si quelqu’un les avaient vu ensemble, mais ne pas s’embrasser, c’était normal après tout Anna était une de ses meilleurs amis avec John. Il la vit le frapper doucement après avoir fait mine de réfléchir et il se mit a rigoler légèrement, il adorait faire le pitre pour faire rires n’importe qui, et il le fessait depuis tout petit. Après tout on dit qu’un sourie est le meilleur remède ou quelque chose dans le genre.

Après avoir fait un monologue sur la confiance dans un couple, il entendit Anna lui dire que la confiance était sur quoi reposait une relation amoureuse et que c’était important. Il l’entendit lui demander ensuite de lui révéler un petit secret. Il en avait un gros mais il n’était pas prèt a le révéler alors il se mit a réfléchir et quand il trouva se petit secret qu’il allait lui dire il se mit a faire un grand sourire et lui révéla :

« Quand j’avais quoi, genre 4 ans j’avais reçu une cape rouge pour mon anniversaire. Et cette cape je n’arrêtais pas de la porter jour et nuit ou que j’allais, a l’école, a la maison, chez le médecin enfin bref partout. Puis un jour je me suis rendu compte qu’elle était vraiment très sale alors on l’a mise a laver et j’ai arrêté de la porter parce que quand je la remettais je ressentais plus la même sensation ! Avant je me prenais pour un super héro qui sauvait la terre et après le lavage je me prenais juste pour un enfant avec une cape ! »

En racontant tout sa il ne put s’empêcher de se souvenir de tout sa, a l’époque déjà il ne pouvait pas tenir en place et quand il avait eu la carte il sautait partout, un jour il avait même essayer de sauter d’une chaise pour essayer de voler, enfin de compte il était bien tomber par terre, et était déçu de ne pas avoir réussi a voler, mais heureusement il ne s’était pas fait mal, cette époque était le temps ou il était insouciant et ou il idéaliser tout et ne se doutait pas des épreuves qu’il allait devoir subir lorsqu’il grandirait, comme le premier cœur briser, le premier séjour a l’hôpital et aussi le fait d’être ensevelis sous une avalanche durant 2 jours.

Après être ressortit de ses pensé il se mit a regarder Anna et haussa un sourcil avant de demander :

« Et toi mademoiselle révèle moi tout tes secrets, je veux tout savoir ! »

Il continua de la regarder avec cet air idiot qu’il avait, et attendit sa réponse. Bien sur il s’attendait a ce qu’elle lui révèle un petit secret du genre qu’elle a peur des clown etc.… et non pas un gros secret qui risquerait de le choquer comme par exemple qu’elle es tué quelqu’un, bien sur ce n’était pas vrais mais c’est un exemple. D’ailleurs il ne pensait pas a ce qu’elle sache qu’il a frôler la mort en étant ensevelie sous une avalanche pendant deux jours sans manger en ayant comme seul arme la volonté de s’en sortir et qu’il avait réussi sans avoir conscience de comment il avait fait sa et si quelqu’un l’avait aider ou bien si il avait réussi rien qu’avec l’instinct de survie que tout le monde a. A vrai dire ces questions, il se les pose tout les jours et aimerait bien savoir un jour comment il s’en ait sortit. Bien sur il ne s’attend pas a une réponse dans l’instant ou dans quelques jours, il savait que sa allait prendre du temps, mais le jeune Josh est patient et il attendra le temps qu’il faudra.

La nervosité, je la connaissais. Parfois un peu trop bien, pour tout vous dire. Je n’étais pas un véritable paquet de nerfs, mais parfois j’étais insupportable, voir même détestable. Mes amies ne comprenaient pas à quel point un événement que j’attendais avec impatience pouvait être si pénible lors des premières minutes. Lors que j’avais invité un garçon dans une chambre d’hôtel, j’avais pris le soin de tout préparer, de m’acheter une nouvelle robe, nouveau maquillage et même nouveaux sous-vêtements si on passait à l’acte! J’avais décidé de préparer de petits plats, je suis une très bonne cuisinière cependant… J’ai raté ce que je concoctais ce qui m’avait un peu insulté et par la même occasion vexée; j’avais déboursé tout ça pour rien. Dois-je l’avouer? J’ai annulé mon rendez-vous préférant cacher la vérité. Mélinda m’avait dit le lendemain : « T’as tout fait raté, avoue Stressful Blondie… » Encore une fois, mes amies me prouvaient qu’elle me connaissait mieux que je ne me connaissais moi-même.

Ma mère me répétait sans cesse que j’aurais pu faire une merveilleuse infirmière si j’avais voulu qu’il en soit ainsi… À chaque fois que maman était malade, que son cancer s’aggravait, je m’occupais du reste. Quand papa tombait malade aussi, je lui faisais de la soupe au poulet très chaude, je lui préparais un bain à l’eau tiède et j’appelais vers midi pour m’assurer qu’il ne lui soit rien arrivé. Ma mère me disait également que je pourrais être douée en étant mannequin, j’avais la taille de guêpe qu’il fallait et encore, mon père me l’avait dit aussi la dernière fois qu’il m’avait vu. Mais ce qui me marquait le plus c’était que maman croyait en moi plus que tout. Je voulais faire quelque chose, elle m’appuyait toujours à 110%. Ça me faisait sourire d’y repenser. Et suite au Dr. House, je dois l’avouer : je rêve d’être médecin mais mon père me le dit : tu n’es visiblement pas destinée à l’être en étant au Carlson Center. Petite vanne que j’aurais aimé qu’il garde, je m’étais toujours dis que j’arriverais à mes buts et mes objectifs. J’avais même fait une liste de 50 choses que je voulais faire avant de mourir.

Si on m’avait dit qu’il ne faut pas seulement aimer mais rendre heureux, j’aurais probablement acquiescer. Ce n’était pas faux et en même temps c’était exactement ce qui m’arrivait… Avec Orlando. Je l’aimais, il m’aimait… Il ne me rendait pas heureuse, ce qui faisait que j’étais un peu mal à l’aise avec ça. J’essayais de le rendre heureux mais il fallait se rendre à l’évidence : ce n’était pas le cas. Je savais que si j’en parlais à mon père il me dirait probablement : « fais ce que tu crois qui est le mieux, ma chérie. » J’ai toujours su que mon père était très… enfin… Positif à l’aide. Il savait que quelle que soit ma décision, que tout serait pour le mieux et comme il est croyant envers le destin et le karma, il laisserait tout passer. À chaque fois que je lui présentais un copain, il me disait que ça ne le regardait pas s’il l’aimait ou non; l’important était qu’il me rende heureuse. Et j’appréciais ce geste.

Lorsqu’il prolongeait le baiser, je me sentais en sécurité à ses côtés. Mes faiblesses ne se voyaient pas ainsi… J’avais en quelques sortes l’impression que ma mère et mes soucis n’existaient plus. Il avait ce pouvoir incroyable, de rendre mon monde magique. Plus j’y pense et plus je croyais que les gens pensaient que nous étions ensemble, après tout, nous sommes plus qu’amis, nous sommes de meilleurs amis et je savais que Josh ne me laisserai jamais mais au grand jamais tomber lorsque je suis malade. En fait, il ne m’a jamais laissé tomber, peu importe le moment. Nous étions de grands amis. « Quand j’avais quoi, genre 4 ans j’avais reçu une cape rouge pour mon anniversaire. Et cette cape je n’arrêtais pas de la porter jour et nuit ou que j’allais, a l’école, a la maison, chez le médecin enfin bref partout. Puis un jour je me suis rendu compte qu’elle était vraiment très sale alors on l’a mise a laver et j’ai arrêté de la porter parce que quand je la remettais je ressentais plus la même sensation ! Avant je me prenais pour un super héros qui sauvait la terre et après le lavage je me prenais juste pour un enfant avec une cape ! » Un sourire se dessina sur mon visage, cette histoire, il me l’avait déjà raconté mais il semblait l’avoir oublié mais comme j’étais sympa, je ne lui rappelais pas… Après tout, il fallait être gentil. Et de toute manière, je ne comptais pas lui rappeler, peut-être se souvenait-il qu’il me l’avait raconté mais qu’au fond, il pensait que j’avais oublié. Visiblement, il dissimulait quelque chose mais je n’insistais pas.

Je me souvenais du temps où j’étais enfant. Le genre d’enfant stéréotypé à fond, cheveux longs et blonds, les yeux bleus et une petite bouille toute adorable. J’avais un nombre incroyable de poupée mais je n’en n’aimais qu’une : Grace. C’était ma préférée.

La liste des premières fois, bien souvent, je prenais un questionnaire sur Internet et je regardais les choses, les premières fois. Première cuite, première drogue prise, première poupée, premier cœur brisé, premier ami… Ça me rappelait tellement de souvenirs! Un nombre incroyable de choses… Puis il me demanda « Et toi mademoiselle révèle moi tout tes secrets, je veux tout savoir ! » … Un vague moment d’hésitation se voyait sur mon visage, je ne comptais pas parler de ma mère; seulement Mélinda et Kenzie étaient au courant. Et non, je n’avais pas peur des clowns. Vive Surnaturel xD Je pouvais lui dire que j’avais perdu un pari et que j’avais dut me départir de mon ensemble d’écolière… Que j’avais coupé mes cheveux toute seule pour les offrir à ma mère… Il y avait tellement de choses à dire, à savoir, que je cachais peut-être plus ou moins bien.

- Je suis toujours vierge, je suis une inversus, j’ai un talent inusité en piano… Ça te convient?

Au même instant, je mis sa main sur mon côté gauche, où était censé être le cœur… Il n’y était pas. Avec un sourire, je glissais sa main sur mon côté droit où mon cœur battait. En voyant son air intrigué, je ne pus m’empêcher de le rassurer :

« Non, ce n’est pas une maladie. Mes parents sont comme ça aussi… »

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